Cette rencontre-là, à La Machine à Lire, nous tenait particulièrement à coeur. Il y a des librairies où l’on se sent toujours accueillis et plus encore, maisons aux fenêtres ouvertes où la parole est libre. Les roues de l’Oronte y sont aimées, vraiment, et si bien soutenues. Les évoquer ici, et avec elles ce peuple dont elles sont le chant blessé mais bien vivant…
Nous étions heureux de votre présence, merci à vous de ce moment au pied des norias syriennes de Hama.